Ce troisième numéro questionne l’indépendance relative ou au contraire, la fondamentale nécessité du FANTASME pour la construction d’une architecture. Faut-il le valider et le préserver au fil des étapes de conception, ou au contraire le détruire pour que le projet puisse enfin être rationalisé ? Si le FANTASME peut-être considéré comme un outil architectural, serait-il un lien possible entre simple construction et architecture?
Dim: 189 x 245
112 pages
Tiré à 600 exemplaires
Qui Ne Dit Mot Consent désire questionner, ouvrir et construire une pensée critique, composite, en fédérant regards et opinions de tous bords. Fondée sur une base de collaboration, la diversité de son corpus s’adresse à des sensibilités différentes pour permettre à un large public de s’interroger, de nourrir une opinion sur les problématiques traitées. QNDMC n’est en aucun cas un propos dogmatique, mais d’avantage une médiation, un instrument.
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